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C'est un piège - ft. Escence Evan


 

 
C'est un piège


 

Avis de recherche - personne recherchée Escence Evan - motif: trafic d'esclaves, voilà ce qui était placardé au-dessus de mon bureau dans la petite maisonnette dans laquelle je vivais depuis quelques temps bien entendu cette maison était à l'abri des regards indiscret, perdu au milieu de nulle part dans un endroit tout aussi secret.

Il fallait bien cela pour survivre dans ce monde en plein chaos depuis que le pays était sous le joug d'oppresseurs avec lesquels il était impossible de discuter. La discrétion était de mise, les guildes n'étaient plus et les alliances de guilde avaient également disparue, maintenant soit vous étiez un membre de Naarah vous étiez un rebelle. Il n'y avait plus vraiment de place pour la compassion. C'était une sorte de guerre stérile, froide et sans aucun compromis. Nous les résistants à ce nouvel ordre étions donc forcés de nous cacher, d'agir dans l'ombre et de se voir confier des missions toujours plus périlleuses pour essayer de subsister. Justement, en parlant de mission dangereuse, la veille, Jet et Droy étaient venus me trouver en disant que cet homme là, celui que vous voyez en photo sur ce bout de parchemin. Il avait été repéré visiblement à l'Ouest du royaume vers les montagnes et les hauts plateaux. Selon des sources presque sûres, il y aurait une mine soit disant désaffectée qui lui servirait de repère pour pratiquer ces activités d'esclavages. Consciente du danger que représenter une telle virée en ces lieux, mais également déterminée à mettre fin à de tel agissement, je ne pouvais laisser passer cette chance, surtout que cela faisait deux moins que nous traquions cet homme sans relâche et c'était enfin la première fois informations un peu valables que nos services de renseignement nous fournissais. J'avais donc proposée à Jet, Droy et deux autres personnes de nous rendre sur place.

On aurait pu y aller en plus grand nombre, mais j'avais peur que cela ne soit pas assez discret et que le plan serait plus facile à élaborer en étant moins nombreux. J'avais donc retrouvée mes compagnons de fortune afin d'établir notre plan bien entendu comme d'habitude les garçons proposèrent des idées toutes plus farfelues les une que les autres. Je soupirais devant leur bêtises dans un moment aussi important et finalement au bout d'une demi-heure, je me lançai alors dans la proposition d'un plan audacieux et extrêmement dangereux.


"Je vais faire l'appât!"

"QUOI ?"

"Oui, c'est l'unique solution. Je pense qu'il sait qui je suis et il voudra me mettre la main dessus, alors je vais..."

"NON LEVY, c'est trop risqué, tu ne peux pas..."

"Je ne vous laisse pas le choix les garçons, c'est çà ou le plan tombe à l'eau et si vous voulez pas m'accompagner et bien je trouverais quelqu'un d'autre pour m'accompagner. D'ailleurs vous avez intérêt à suivre mes ordres, tous mes ordres."

"Comment çà?"

"Si je vous dis de fuir, vous le faites."

"Mais Levy,..."

"Je veux pas de mais, c'est bien clair, vous suivez mes ordres."

"Très bien Levy."

Je savais me montrer autoritaire avec eux. Il le fallait après tout pour arriver à diriger une équipe dans des missions aussi compliquées. Le plan en soit n'était pas infaillible, il était risqué, on pouvait mourir ou finir sous la torture ou par devenir leurs esclaves, mais je n'avais pas d'autre plan à l'heure actuelle. Je rompis la discussion puis il fut temps que je prépare mes affaires. Je ne pris que le strict nécessaire dans un petit sac à dos et me prépara surtout mentalement à affronter cet homme au combien cruel devant lequel j'allais me trouver dans quelques jours. Ma gorge se resserra en regardant la photo de la guilde de Fairy tail qui trônait sur mon bureau, j'attrapais alors une peluche à l'effigie de panthère Lily et la serrai fort dans mes bras en fermant les yeux, une larme coulant au-dessus. Je m'essuyai ses quelques larmes en souriant. Il est vrai que cette époque était révolue et elle me manquait terriblement, tout comme Gajeel et Panthère Lily. La maison était vide sans eux, de même que notre quartier général même si je m'y rendais que dans de rares occasions.

Une fois prête, je parti rejoindre le reste de l'équipe. On était tous motivés et moi encore plus. Il nous fallait trois jours de marche entier pour atteindre les sois-disant plateau et ensuite il nous fallait trouver cette mine soit disant abandonnée théâtre d'horreur qu'on soupçonnait à peine.

Les trois jours passèrent rapidement, on sentait la tention monter tendis qu'on venait d'atteindre la dite région où se déroulait des scènes insoupçonnables et que prochainement il serait le théâtre d'une toute autre scène toute aussi désagréable. J'observais les lieux, de grandes plaines dévastée s'étendaient de nos pieds jusqu'à l'horizon et en contre bas un grand lac noir surplombait d'une immense montagne. Le paysage était plutôt hostile et désolé dans la région ce qui n'était pas très engageant. Le gorge serrée, je répétais une dernière fois le plan avec mes compagnons de de voyage puis après un dernier câlin, je m'avançai seule sur le plateau rocailleux en direction de la dite mine. J'avais peur, mais cette même peur me donnait aussi le courage d'affronter les situations les plus périlleuses.





 
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Evan était satisfait, la première fois qu'il avait fait depuis qu'il avait prit le pouvoir était de recréer des mines d'esclaves, comme celle où il travaillait lors qu’il était esclave. Même fonctionnement, même traitement, c'était quasiment reproduit à l'identique: qu'il était bon, plaisant d'être de l'autre coté de la barrière! Montrer que les forts sortent de manière naturelle du lot, par la force, la puissance même de leur destin? Ces insectes grouillants, nuisant, n'étaient pas capable de s'affranchir de leurs conditions, alors ils étaient à leurs places, en bas de la chaine alimentaire.

Levy put rapidement voir des esclaves dénués, reliés entre eux par des chaines aux pied, avançant en rythme pour se diriger vers la mine, ils provenaient d'une autre mine qui n'avait plus rien à produire, donc c'était des "renforts", leurs peaux étaient sur les os, de nombreuses blessures et cicatrices parsemaient leurs corps ainsi que divers "tatouages" qui ont été réalisés avec du fer blanc chauffé, gravant leur soumission directement dans leurs corps délabrés. Au sein du groupe d'esclave il y avait même une petite fille d'environs 7 ans qui finissait la marche, un de ses gardien s'était amusait à lui arracher son bras gauche qu'elle tenait dans sa main droite, ayant juste cautérisé la plaie.

Cependant l'un des gardes remarqua rapidement la bleuté à l'aide de jumelles, soufflant dans un cor pour signer l'alerte. Les esclaves furent forcés de se plaquer au sol sous peine de se faire abattre: l'un des hommes fit le choix de rester debout et fut décapité sans autre forme de procès, couvrant la gamine de sang. Evan fut directement avertit par lacrima de communication avec un visuel de la situation: Levy McGarden était ici? Les anciens de Fairy Tail allaient surement les attaquer, il s'en léchait les babines d'avance, Levy faisait partie de sa liste, de ses proies à traquer, et elle venait d'elle même? Avec un peu de chance il pourrait même cocher plusieurs noms d'un coup.

Il avait la chance d'être déjà sur le trajet vers la dite mine, sur une moto bien qu'il avait dut, bien évidement s'arrêter pour prendre l'appel. Il regrimpa sur la moto avant de rouler à toute vitesse, n'hésitant pas à prendre des raccourcis un peu dangereux pour gagner du temps, arriver sur place prendrait environs une dizaine de minute, à savoir ce que Levy ferait pendant ce temps... Certains des gardes usaient déjà de leurs armes magiques: pistolets, arcs, pour tirer vers la lectrice en herbe des fées

 

 
C'est un piège


 

Je rentrais dans la mine soit disant abandonnée et ne tarda pas à tomber sur les preuves d'une activité d'esclavage, ce que je recherchais exactement. L'homme que je cherchais ne devait pas être loin. Il y avait ses hommes de main qui faisaient travailler ces pauvres gens. Je ne pouvais m'empêcher d'éprouver de la compassion pour eux. Torturer et réduit à l'état de bête voir même d'insecte et on les écrase s'ils ne font pas ce qu'on leur demande. J’eus un haut le cœur en voyant une pauvre femme se faire déchirer le peu de tissus qui lui servait de vêtement avant de faire jeter à terre après avoir était fouettée et comme ses jambes ne supportaient plus son poids, on lui ordonna de se relever immédiatement et on la frappa encore à terre.

Je ne pu m'empêcher d'éprouver une grande colère envers ces hommes, mais je devais être discrète du moins jusqu'à ce que l'homme que je cherche pointe le bout de son nez. Je vis alors un autre groupe d'esclaves arrivés, eux aussi était enchaîné aux pieds et n'avaient nulle autre choix que d'avancer ou de mourir et encore mourir n'était pas une rédemption en soit, car ils souffraient beaucoup avant de lâcher leur dernier souffle et j'étais certaines que même à bout de souffle on les faisait bosser sans relâche. Ils étaient brisés, meurtris et sans avenir. J'avais presque envie de pleurer, mais j'étais trop révoltée par cette situation pour le faire. Comment pouvait-on être comme cela envers un autre être humain, ces hommes, ces femmes, ces enfants, ils pourraient être notre propre famille, nous sommes tous égaux, tous frère et sœur, alors pourquoi.

Tendis que j'observais cet effroyable spectacle, je fus malheureusement repéré ou heureusement, je ne savais pas encore. Un des hommes m'avait vu aux jumelles et donna l'alerte d'un coup de cor. Je vis alors les esclaves se plaquaient à terre, l'un d'eux désobéissant plus qu'un autre se fit décapité sans ménagement et sa tête tomba dans une marre de sang, me faisant hurler tellement le spectacle était atroce. Je sortis alors de ma cachette et commença à me défendre ne sachant pas encore que l'homme que je recherchais allait pas tarder à arriver. Profitant pour le moment de son absence, je me défendais contre ces sbires avec toute la magie que je pouvais, créant des flaques d'huile un peu partout avant de les enflammés, puis tirant des éclairs avec d'autres lettres. Je faisais de mon mieux, je ne voulais pas encore que mes camarades interviennent même si la situation semblait scabreuse, le but était de piéger Evan.

"Comment osez-vous, vous allez voir de quel bois je me chauffe, je suis pas n'importe qui, je suis une mage de Fairy Tail." criai-je à l'encontre des hommes, le regard plein de colère et de détermination.

Je n'étais pas la plus forte des mages, mais je me débrouillais et je continuais mes assauts répétitifs sur ses sous-fifres, ne relâchant pas mes efforts. Ces pauvres gens, ils comptaient surement sur quelqu'un pour les libéré, je devais être cette personne du moins l'investigatrice. Par ma magie et ma rébellion contre ces fumiers, je voulais leur montrer qu'ils ne devaient pas avoir peur d'affronter plus fort que eux, que par leur nombre, ils pouvaient faire la différence.

 
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La lutte entre les sbires et la mage de Fairy Tail était assez équilibrés au début, après tout ils avaient été formés pour "éduquer" des êtres humains sans défense, contre une mage qui à l'habitude du combat cela était tout de suite plus corsé, surtout quand leur adversaire avait une magie des plus polyvalente? Problématique. Les sbires tombaient un par un malgré leurs assauts répétés: Levy était en train de prendre l'avantage à elle seule. L'une de ses attaques détruisis les chaines d'un homme qui se mit à courir comme un dératé pour sa survie, pour sa liberté. N'importe qui aurait fait pareil, mais le dieu du timing était contre lui: un chakram vint de derrière Levy pour le découper en deux et mettre le feu à son corps. L'arme retourna comme un boomerang vers son propriétaire: Evan. Il regarda son chakram avec un peu de dégoût en arrêtant ses flammes.

-Ce que je peux détester le sang de ces déchets, c'est tellement salissant.

Il attrapa un esclave dont il il tira la langue pour se servir de lingette pour son chakram encore chaud, inutile de dire que le pauvre homme hurlait à mort et que Evan s'était bien évidement mit derrière le mec pour que Levy ne puisse rien y faire: il faisait ce qu'il voulait de son otage. Après avoir nettoyé le chakram il lui mit un shoot pour le jeter dans le trou où en mettait les roches inutiles pour être évacuées:

-Levy, Levy Levy...je n'aurais jamais cru qu'une personne de ma liste viendrait se proposer d'elle même à moi, tu ne dois pas avoir grand chose à faire de ta vie, ou alors au contraire tu as besoin de te faire mettre à ta place? J'imagine que tu ne vois pas d'objection à ce que je fasse virer les plébiens, à moins que tu ne veuilles qu'ils finissent en dégâts collatéraux?

Il claqua des doigts et ses sbires emportèrent les esclaves, avant qu'il ne se mette à regarder Levy de bas en haut, se léchant les babines: il allait tellement se la garder pour elle celle là! Mais en comparaison de lui elle n'avait pas l'air bien forte, galérer face à des sbires, sérieusement?


-Ne t'en fait pas, quand j'en aurais fini avec toi je m'arrangerais pour que tes petits amis aient une idée très précise de ce que je t'aurais fait

Sans attendre plus, il se mit à lui balancer ses chakrams à répétition pour jauger ses déplacements


C'est un piège



Alors que la bataille faisait rage et que je me défendais bien contre tous ces sbires, je songeais toujours au fait que tout cela n'était pas normal. Effectivement mon intuition me disait que cela était étrange que leur chef, que l'homme que l'on cherche n'était pas là alors que j'attaquais leur bas, enfin du moins un de leur vivier d'esclave. Non tout ceci n'était vraiment pas normal. Je reniflais le piège à deux kilomètres cependant je ne pouvais me résoudre à laisser ces hommes faire du mal à tous ces autres hommes, femmes et enfant. Libérant certains de ces esclaves avec ma magie, je vis l'un d'eux s'échapper, mais ce dernier ne partit pas bien loin. Effectivement il reçu de la magie ou je ne sais quoi, je ne vis pas très bien la scène, mais ce que je vis bien distinctement c'était son corps qui brûla me faisant soulever le cœur. La chair qui brûle c'est juste horrible, çà pu et les cris de douleur sont insoutenables. J'avais limite envie de vomir, mais je me retins et regarda d'où parvenait la magie. Je ne tardais pas à le savoir. Derrière un épais manteau de fumée qui s'estompait, un visage apparut. Des cheveux rouge et un regard malveillant qu'on ne peut oublier ainsi que ce sourire tout aussi détestable.

"ESCANCE EVAN !!!!!"
criai-je à son entre les yeux remplis de colère.

Je n'aimais pas cet homme, non enfaite c'était pire que cela. Je haïssais cet homme du plus profond de mon cœur. Sa répugnance pour le genre humain hormis sa propre personne faisait de lieu un être haïssable au possible. Il démontra une nouvelle fois d'ailleurs devant mes yeux l'être qu'il était en se servant comme bouclier d'un pauvre esclave pour que je ne puisse l'attaquer. Il s'adressa alors à moins, me disant que je tombais dans ses filets, c'était donc bien un piège, mais peu importe ce que c'était, je me devais d'agir, car en ce monde je ne pouvais tolérer de tel agissement. Il me proposa de mettre de côté les esclaves pour que nous puissions pas leur faire plus de mal cependant je savais que pour lui c'était juste pour pas en tuer par ses gardes sinon il perdrait de la main d'œuvre et ce n'était en aucun cas parce qu'il se soucier de leur bien-être, de cela il s'en fichait pas mal. Je fronçais alors les sourcils et repris la parole d'une voix assurées confiante. Je ne cachais pas que j'avais peur, mais j'avais foi en mes convictions, foi que ce que je faisais c'était pour le bien de l'humanité, pour le bien du royaume de Fiore.


"Très bien, faisons comme cela."

Les sbires emportèrent avec eux alors les nombreux esclaves et Evan reprit la parole, s'exclamant qu'il s'arrangerait pour que mes camarades voient mon état dans lequel il m'aurait mis. A ces mots, mon sang se glaça dans mon corps. S'avait-il que mes camarades attendaient en extérieur, courraient-ils un danger? Je ne voulais pas que quelqu'un d'autre que moi se fasse blessé voir même tuer ou pire attraper. Je me devais de satisfaire et de continuais de satisfaire l'intérêt de Evan pour moi, non pas pour moi, mais pour mes amis, mes camarades. Je n’eus cependant pas vraiment le temps d'y réfléchir, car Evan commença à me lancer ses chakrams. Je me mis alors à les esquiver bien que leur vitesse était anormalement rapide et tandis que j'esquivais je cherchais une solution, une ouverture afin de toucher mon adversaire. Ce n'était pas un simple combat, c'était le combat pour la vie.





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Cette haine, cette crainte qu'il pouvait ressentir était pour lui plus délicieux qu'une bière, Levy devait bien savoir qu'elle n'avait aucune chance non? Mais elle s'est bêtement lancée dans cette entreprise, pathétique, sans doute "le courage" dont sont si fier les faibles? Pure folie, il était l'être suprême de ce monde et elle, n'était qu'un insecte qu'il écraserait sans même s'en rendre compte.

Cependant elle faisait partit de sa liste, et il savait qu'en la capturant il pourrait surement tirer tout le chaînons de fairy tail, hors de question de louper cette occasion. Il canardait la bleuté sans lui laisser d'instant de répis, s'amusant de la situation, il avait largement comprit le jeu de la jeune femme, sans doute d'autres membres de Fairy Tail étaient embusqués quelques part: au minimum le reste de l'équipe shadow gear et Gajeel Redfox. Levy était intelligente, il doutait fortement qu'elle s'attaque à lui sans une préparation minimum, et puisqu'elle venait sur son terrain c'était que le piège était ailleurs:

-Faire l’appât c'est une chose, mais si personne ne peut te rejoindre ça en est une autre.

Il lâcha un torrent de cendre sur la jeune femme, assez gros pour couvrir la galerie dans toute sa hauteur et sa largeur, la forçant à s’engouffrer dans les galeries creusées par les esclaves si elle ne voulait pas mourir, et plus elle irait bas plus elle aurait de chances d'y laisser sa vie. Ses lobes d'oreilles avaient l'air dénudées de boucle et aucune mini lacrima n'était clairement visible, sans doute essayerait-elle d’appeler à l'aide avec son lacrima de communication compacte. Futile, il essayerait de le détruire avec un chakram dès qu'elle le sortirait.

Inutile de notifier qu'il avançait au sein même du torrent, ne quittant par la fée des yeux, fée qui allait devoir retrouver rapidement quoi faire avant de se retrouver tout en bas et sans possibilité d'avancer.


C'est un piège



Folie ou courage, je ne savais pas vraiment ce qui me permettais de me tenir devant cet homme sans vraiment avoir peur. Peur, enfaite si je la ressens, mais je ne veux pas me l'avouer. Il faut dire que je risque gros à venir dans son antre, mais mes motivations et ma détermination n'a jamais été aussi grande. Je dois être courageuse pour tous ces hommes et ces femmes. Ils ne méritent pas leur sort. Par contre cet homme cruel mérite d'être châtié et enfermé à tout jamais. Je ne lui souhaite pas la mort, parce que la mort est une fin en soit, une fin ce n'est pas douloureux. Mes sourcils se froncent et mes yeux se remplissent de haine envers lui. Il m'est arrivé peut souvent d'éprouver ce sentiment, mais là on ne peut ressentir que cela en face de cet homme. Tout en lui me révulse, sa voix, son attitude, son physique, tout, vraiment tout est insupportable. Il me scanda alors que si personne ne pouvait me rejoindre, ce que je faisais ne servais à rien. Alors il avait vraiment deviné, en même temps ce n'était pas bien compliqué. Je le regardais les yeux écarquillé avant d'esquisser un sourire malin et de baisser le regard.

"Tu ne crois pas si bien dire. Tu ne peux pas me tuer de toute façon. Je te suis utile vivante après tout."

Il avait raison, je faisais l'appât, et mon équipe avait déjà reçu l'ordre au préalable de venir au signal que je leur ai fourni tout à l'heure peu de temps avant que Evan n'arrive et s’ils arrivaient trop tard, j'avais d'autres projets, d'autres idées et je continuais malgré la peine que me donnait cet homme, à réfléchir à un plan d'évasion en cas d'échec du plan. Il enchainait les attaques sur moi, je continuais d'esquiver et lui balançais également ma magie des mots, créant des pluies de foudre et de feu. Il m'obligea bientôt à m'engouffrer dans une galerie assez profonde avec sa pluie de cendre et je savais que ce genre de galerie ne ressortait pas ou que la sortie était bien trop loin. J'étais prise au piège. Il m'avait bien eu, mais après tout c'était son terrain, moi je ne connaissais que le peu d'informations qu'on m'avait fourni.

Evan a l'air d'être un spécialiste du feu et des cendres, voilà la réflexion que je me faisais. Je ne connaissais pas tout l'étendu de ces pouvoirs, seulement les informations qu'on me donnait. Je lui balançais alors de la foudre avec ma magie des mots ce qui provoqua une plus grosse explosion au contact avec la cendre et fit s'effondrer des rochers au-dessus de la tête d'Evan et nous sépara tout deux..



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Il misait sur le fait qu'elle allait lui être utile? Petite sotte, si elle savait, si seulement elle savait... D'un ton taquin il répondit donc:

-Dans certains de mes bordels, j'ai fait arracher les bras et les jambes de celles qui me résistaient, et elles sont toujours aussi populaire: tant que des formes sont intactes tout comme tes orifices, tu es utilisable, ne l'oublie pas. Donc oui, même dans le pire des cas tu seras vivante, si on peut appeler ça vivre bien entendu.

Les assauts de Levy étaient vint, présent dans la tempête de cendres Levy ne pouvait pas savoir où il était précisément ce qui avait le don de grandement l'amuser, si faible, si fragile et elle pensait pouvoir répandre l'espoir? Douce et futile illusion que voilà. Elle fit en sorte de les séparer avec un éboulement mais n'était-ce pas elle qu'elle venait de sceller? A supposer que les roches effondrées soit tellement dures qu'il ne pourrait les briser, ce qui était faux, il faudrait qu'elles ne laissent même pas un minuscule petit trou pour qu'il ne s'y faufile avec sa body magic, ce qu'il ne manqua pas de faire pour passer cet obstacle et rapidement rejoindre Levy, coupant son torrent de cendre:

-Tsk tsk, tellement décevant, j'en attendais tellement mieux qu'une mage de Fairy Tail, j'oublie toujours à quel point les plébéiens et les sac à foutre sont démesurément inutiles face à moi. J'imagine que tes petits copains vont prendre quelques minutes pour te rejoindre, d'autant plus que tu limites l'accès. Alors tu peux continuer à courir mais tu tomberas rapidement dans une impasse et, tu t'en doutes, tu ne tiendras pas ces quelques minutes. Alors je te proposes un marché, j'attendrais bien sagement tes amis pour leur laisser une chance, sans continuer mes attaques envers toi si tu montres sans vêtement ce petit corps qui est le tien, sans rien cacher bien sur.

Evan se léchait déjà les babines. Tout le monde savait qu'Evan respectait toujours ses promesses, et c'était sans doute le pire chez lui: Levy allait-elle économisée ses forces ou préserver sa pudeur?


C'est un piège



Tu n'es vraiment qu'un monstre.

Je ne savais pas quoi dire de plus. A vrai dire cet être ne méritait même pas qu'on l'appelle. Il est abjecte, répugnant, repoussant, même ses adjectifs ne sont pas assez puissants pour le décrire alors c'est avec le plus grand des courages que j’essaie de gagner du temps, de lui échapper, le temps que mes amis viennent à mon secours bien que j'espérais qu'ils ne se fassent pas tuer. Je tenais à mes amis plus qu'à ma propre vie et j'étais prête à me sacrifier pour eux, mais il fallait aussi qu'on mette un terme aux agissements de cet être. Il s'amusait avec moi. Enfaite cette course poursuite me servait à garder du temps, mais lui çà avait l'air de l'amuser plus qu'au autre chose. J'entendais les échos de sa voix plus qu'agaçante. J'en avais presque mal à la tête. Il fini par me rejoindre. Visiblement je n'étais qu'un petit insecte pour lui qui ressemblait à une reine des fourmis, prête à me dévorer. Je me tournais alors vers lui, lui faisant face. Je savais que sa magie était bien trop puissante pour une mage comme moi et je commençais à être à bout de souffle à force de courir partout dans ses galeries.

Et voilà que cet homme s'avance vers moi. Il m'observe avec son regard de pervers. Il me débecte. Il m'énerve au plus au point, mais je ne détourne ne regard. Je veux continuer de le provoquer. Il ne me prendra pas vivante, pas comme il le désire en tout cas. Je ne lui laisserais jamais ce plaisir. L'Humiliation, je l'ai subi par le passé, j'ai apprit à pardonner, mais venant de cet homme, ce n'est plus de l'humiliation. Non c'est toute autre chose. C'est de la torture, symbole de son égoïsme démesuré, de sa soif, de sa perversité. Il me propose alors que je lui montre mon corps, et pour quelle raison. Je ne vais pas lui faire ce plaisir, n'importe quoi.


"JAMAIS ! TU m'entends JAMAIS ! TU DEVRAS ME TUER !"criai-je à son encontre les yeux emplis de haine pour lui.

La n'était pas le choix entre la pudeur ou la vie. Je n'avais pas envie qu'il mène cette danse. Je n'avais pas envie de lui donner satisfaction.



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Elle avait fait le choix de lui résister. Il s’en délectait, elle n’était pas raisonnable ! Levy savait au fond d’elle qu’elle n’avait strictement aucune chance de s’en sortir mais pourtant elle persistait toujours et encore. Pathétique , les faibles devraient vraiment apprendre à saisir les opportunités données par les gens forts, c’était la moindre des choses non ? Elle demandait à être tuée pour ça ? Et bien il pouvait contenter ce souhait . Bien qu’il n’en avait pas besoin, il comptait monter l’étendue de sa puissance pour montrer a Levy ce que c’est le désespoir , l’ultime pallier ou la raison s’arrête et où la realité te frappe sans vergogne. Evan activa sa dragon force , lui donnant ce fameux air draconique que Levy connaissait via Natsu :

- Cela pourrait s’arranger mais j’ai besoin de toi vivante. Mais j’imagines que je peux me permettre de te retirer les bras et les jambes , ces dernières temps des esclaves en tronc de vendent plutôt bien : elles peuvent pas se defendre, plus de magie, et tu peux les ranger dans un bon sac de sport comme tes autres objets jetable. Tu pourrais faire un tronc de qualité tu sais ! Alors je vais te laisse une dernière chance de reconsidérer ma proposition, sinon… je passerais a table. Le pire ? Je suis passé par là moi aussi, j'ai abandonné mon humanité et ma fierté, regarde où ça m'a mené!

Cette transformation fit grimper la température en flèche et les cendres commençaient à se mêler à l’air , de quoi rendre chaque respiration extrèmement douloureuses pour la bleuté qui certes avait le mot magique Mask, mais qu'en était il des brûlures qui allaient sûrement commencer à apparaître sur sa peau a cause des cendres ? Lentement le dragon slayers des cendres s’avançait vers elle, la regardant comme du bétail, un rictus couvrant son visage : il n’allait pas tarder a l’attaquer de nouveau .


C'est un piège



"Tu dis que tu en es passé par là. Tss et aujourd'hui tu reproduis tout simplement ce que tu as subit et tu appelles çà une sorte de vengeance, laisse-moi rire. TE FOU PAS DE MOI, tu n'es rien de plus qu'une ordure." lui criai-je.

Je me relevais, essuyant la poussière sur mon visage. Je commençais a fatiguer à force de courir, mais ma détermination n'avait jamais été aussi grande. Oui je pleurais également, je ne pouvais arrêter ces larmes qui coulaient lentement de mes grands yeux ambrés et je savais qu'il y avait un fossé entre mon adversaire et moi, mais je n'avais pas peur, si seulement la peur de perdre mes amis, mais peur de mourir, ça non je n'avais pas peur ni même peur de la souffrance qu'il pourrait m'infliger. Je croyais encore à mes amis. Je gardais espoir en eux, tôt ou tard ils arriveraient pour me donner un coup de main et on repartirait tous ensemble cependant j'avais la haine d'être si impuissante face à cet homme. Il commençait alors à utiliser sa magie des cendres. J'utilisais ma magie pour me protéger de l'asphyxie, mais je savais très bien que ne pouvais pas grand chose contre la chaleur insupportable et que j'allais finir brûlé vive si je restais encore là. Je fermais les yeux un instant, tentant d'utiliser ma magie des mots pour faire apparaitre de la pluie afin de me protéger, mais je savais que ça aussi c'était pas une solution, la chaleur environnante était telle que toute eau disparaissait immédiatement comme elle était venue. Que faire, a part prier pour que mes amis arrivent. Je suis tellement lamentable face à sa puissance. Je n'étais pas assez préparée, pas assez forte. Je me cramponnais comme je pouvais pour pas vaciller attendant l'espoir au détour de cette galerie.

"Un jour...tu le paiera Evan, oui un jour."




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Levy ne pouvait pas le comprendre, elle le traitait d'ordure alors qu'ici c'était elle le déchet! Mais alors qu'il allait lui porter un nouveau coup un cri raisonna :" LEVYYY". La voix de Jett! Ainsi les camarades de Levy étaient déjà la pour les sauver, pas mal il les avait sous estimés, Evan pensait que c'était juste des prolos! Mais c'était encore mieux pour lui. Un nouveau sourire carnacier se dévoila et il pointa du pouce l'éboulement, avec les amis de Levy qui étaient surement derrière:

-Tes amis sont arrivés, je pense que je vais devoir les accueillir, ce n'est pas parce que je suis un mage noir que je dois être impoli! Quoique, j'oubliais, c'est vous les mages noirs maintenant!

Evan se tourna vers l'éboulement avant de prendre une inspiration et de déverser un hurlement de slayer des cendres! Il expulsa les rochers avec son hurlement...inutile de dire que Jett et Roy ne s'attendaient vraiment ça, et inutile ne dire également qu'ils eurent mal, très mal. En un instant ils furent gravement blessés et leur sang coulait. Par ténacité ils n'en demeuraient pas moins conscient, puissant dans leurs ressources pour essayer de protéger celle qui leur était cher, malgré qu'ils tenaient à peine debout:

-Oh quel dommage, ils ont glissés sur des cailloux pas de chance! Avec quelques chaines ils feront de très bons canapés! A moins que tu ais quelque chose à proposer? Je suis censer te le payer c'est ça? Alors je paye avec la liberté et la vie de tes deux amis pour payer ton entière soumission, c'est un bon prix non?


C'est un piège



La lutte était courue d’avance, complètement vaine et pourtant je gardais espoir au fond de moi, priant pour qu’on s’en tire vivant et j’entendis alors la voix de Jett ainsi que Droy et les deux autres. Ils étaient venus me sortir de ce guêpier cependant je réfléchissais une seconde, quelles étaient nos chances de gagner contre un tel type. Je dirais nulle. Je regardais et réalisais la triste réalité en face. On était foutus, seule possibilité fuir, mais comment et où ? Il nous retrouverait c’était certain. Je fronçais les sourcils en regardant Evan d’un air menaçant, ce type était infecte même pire. Je n’avais aucun mot pour le décrire et ce qu’il allait faire plus tard était simplement ignoble et digne d’un démon. Je regardais alors ce triste spectacle de mes amis repoussés par un hurlement du dragon des cendres. Je connaissais cette technique et on avait aucune chance avec nos maigres pouvoirs à nous.

"JETT, DROY, les amis, ARRETEZ C’EST INUTILE DE LUTTE CONTRE LUI !!"leur criai-je alors qu’ils tentaient en vain de résister, se relavant suite à la violente attaque.

Mes yeux s’emplirent de haine et de tristesse en regardant ce triste et minable spectacle, cette débâcle absolue. J’aurai dû y songer, je ne vous avais envoyer à la mort directement. Je n’avais vraiment pas l’étoffe d’une chef de groupe. Evan se remit alors à parler, je l’écoutais lui et ses paroles à vomir. Il se raillait de nous et proposa alors un marché, leur liberté, leur vie contre moi. Il me veut en vie, il veut faire de moi une esclave, je ne comprends pas tout, mais je sais une chose çà sauvera mes amis, je m’avance alors vers lui en titubant parce que j’ai mal partout. Jett et Droy tentent de me stopper, je les repousse avec une attaque stone me retournant vers eux.


" Jett, Droy, les amis, je suis désolée, veuillez dire aux autres que je suis désolée, j’ai échouée et adieu les amis. "

Je souriais, mais mon cœur se déchirait à l’idée de ce que je faisais. Mes larmes qui coulaient sans s’arrêter trahissaient mes pensées les plus profondes alors que la peur m’envahissait, mais je trouvais le courage de faire face à Evan toujours en m’avançant lentement et surement.

" EVAN, je suis là, c’est ce que tu veux. Laisses les partir maintenant. "



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Evan eut un rictus: facile, tellement facile que ça en était risible! Ces mages légaux...Non ces mages noirs, vestiges d'une époque perdus étaient beaucoup trop sentimentalistes, si un gars merde tu le laisses en subir les conséquences. ça peut le mener à la mort mais c'est aussi ça qui peut le renforcer. Lui même avait fait l'erreur de croire en l'humain étant jeune, personne n'avait payé à sa place et le voici maintenant, trônant parmi le sommet de fiore. Il entoura les deux compères de fairy tail dans une sorte de sarcophage de cendres pour les y enfermer. Du sang coulait légèrement des cendres alors que les sarcophages se mettaient à tourner sur eux même à une vitesse folle: le message était clair, il pouvait les tuer, en faire ce qu'il en veut:

- Levy Levy Levy, ta bonté te perdra. Nous avons donc un accord mais il me faut une preuve de soumission, c'est ce que j'ai demandé et c'est ce qui est nécessaire pour la survie de tes amis. Dire que tu es là ne suffit pas.

Ethan sortit de son manteau un tampon et un collier qu'il jeta aux pieds de la bleuté:

- Pour montrer ta soumission et laisser la vie sauve à tes amis tu as quatre choses à faire. Tamponne le logo de Naarath par dessus celui de Fairy Tail. Met toi ce collier, et dénude toi entièrement sans avoir le droit de cacher une quelconque partie de ton corps. Enfin jure moi allégeance.

Les cris avaient cessés, les deux mages de Fairy Tail étaient tombés dans une inconscience profonde à force de tourner et supportant mal la douleur.


C'est un piège



Je regardais alors impuissante mes compagnons se faire lentement et surement blessés mortellement dans cette sorte de sarcophages. Des larmes commencèrent à couler de mes yeux et j’eu un haut le cœur en voyant le sang coulait, baissant alors le regard pour ensuite le détourné de cette vision d’horreur pour me concentrer sur cet homme si détestable qu’est Evan. Il me sortit alors que dire que j’étais là n’était pas suffisant, je devais lui obéir ou sinon il tuerait mes amis et probablement bien pire. Je l’écoutais, mais mes pensées allaient vers mes amis, ma chère famille de fairy tail, est-ce que tout cela allait prendre fin maintenant. J’entendis l’écho de leur voix, les souvenirs de nos heureux défilaient dans ma tête.

"Si je fais cela, laisse les partir et en vie et en un seul morceau, Evan."

J’allais perdre ma dignité ici et maintenant et toute raison de vivre ainsi que ma liberté. J’exécutais machinalement ce que Evan m’ordonnait de faire, la survie de mes amis était ma priorité. Je mis complètement nue, heureusement que personne d’autre ne voyait cette scène d’ailleurs, seul se posait sur moi le regard de ce monstre lubrique. Une fois dénudée entièrement je mettais et attaché ce collier d’esclave, puis je m’avançais lentement vers lu, regardant son sourire malfaisant me dévisager. Je ne cachais pas ma nudité, cela ne servirait à rien de résister et puis peut-être qu’en devenant son esclave je serais plus à même de déjouer ses plans, du moins c’est ce que je pensais, rapproche-toi de tes ennemis pour mieux sauver tes amis, un truc dans ce genre. Un dernier regard en arrière, des larmes coulant le long de ma peau pâle et couvertes de coupures, je me mis à genoux devant cet homme.

"Je te jure allégeance ici et maintenant Evan."

Ces mots m’arrachaient le cœur et me briser littéralement, mais j’étais beaucoup trop faible et avait été trop arrogante de venir ici pour les sauver tous, alors si je pouvais au moins sauver mes amis, ce serait mieux que rien. Je devais garder la foi, la confiance jusqu’au jour où je serais libre à nouveau. C’est là que je me trompais lourdement. Cette vie d’esclave n’allait pas bien se terminer pour moi, et ma vie serait à jamais différente de celle d’autrefois et voilà que sonne le glas du désespoir.


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Chose promit chose due. Il remonta vers l’extérieur avec Levy et les deux larbins après avoir demandé à ce qu'on les soigne, et il les fit mettre dans une charrette pour la ville la plus proche ayant un hôpital. Evan regarda non sans plaisir le logo de Naraath qui trônait à présent sur le corps de la demoiselle, en lieu et place de celui de fairy tail, une victoire on ne pouvait plus somptueuse à savourer.

-Ne fais pas cette tête, tu sais moi aussi j'ai été esclave jadis. Entre les mains de personnes pire que je ne le suis, mais j'ai résisté. je suis devenu fort et regarde moi maintenant! Dommage, tu ne pourras cependant pas suivre mes traces, pour une raison assez simple

Le tyran s'approcha de l'oreille de la jeune femme pour lui murmurer:

-Les femmes ne sont que des sacs à foutre justes bonnes à être utilisées et jetées. Ou alors je peux te coller un gosse qui sait? Il y a des rumeurs sur le fait que tu sois amoureuse d'un gars de Fairy Tail? Faire en sorte que la prochaine fois que tu le revois c'est pendant que je te baise sur une estrade dans place publique, le ventre rond comme un ballon , amusant programme non?

Il lui mit une laisse et une fessée, lui disant qu'elle avait bien travaillée. Il n'avait plus de raisons de rester ici après tout. Il demanda à ce qu'on lui apporte un très grand sac de sport pendant que Levy devant se laver devant tout le monde après une installation d'une lacrima d'eau proche de l'entrée: une esclave devait être belle pour son maitre, et pas recouverte de centre, de poussière et de sang.




C'est un piège



Le symbole de Fairy Tail avait disparu remplacé par celui de Naraath et avec lui s’envolait mes espoirs de revoir un jour mes camarades. Des larmes de rage et de tristesse coulaient le long de mes joues rouge. Mon corps tremblait et je me sentais vidée de l’intérieur de toute énergie alors que quelques heures auparavant tout allait bien, mais au moins mes amis étaient à présent en sureté et en route pour un hôpital pour y être soigné. Evan me fit alors quelques confidences mais ces propos me mirent encore plus hors de moi.

" COMMENT OSES……comment tu ne peux avoir si peu de respect pour la vie d’être humain comme toi, tu n’es pas humain c’est juste impossible."

Il voulait me violer et me mettre enceinte, mais quelle ordure, quel monstre ce type. Qu’il me violente et me traite comme un esclave je l’acceptais, mais le reste était juste simplement inhumain.
Mes larmes coulèrent encore plus. Je songeais à Gajeel, à Lucy, à tous les autres, plus personne ne me regarderait comme ils me regardaient autrefois si cela devait arriver. Je ne voulais pas de cela, mais en acceptant son deal, je m’étais condamnée. Je fermais les yeux pour repenser à tous ces bons moments que j’avais vécu, même les mauvais d’adversité n’étaient rien comparés à ce que je vivais et ce que j’allais vivre.

Je devais à présent me lavais complètement nue dans cette lacrima d’eau. Je m’exécutais, rouge de honte et de colère. Mon corps tremblait encore plus et l’eau en plus était froide et j’étais nue devant cet homme, non devant cette chose immonde, mon bourreau. Je regardais ses yeux remplis de haine et de mépris et je lui faisais face avec rage tout en me savonnant et en essuyant toutes ces cendres sur ma peau lisse et pâle. J’avais peur oui, mais à cet instant c’était plutôt la tristesse et la colère qui m’animait.

Je ne pouvais revenir en arrière à présent et mon futur sera certainement sombre, très sombre, mais il n’était pas question de perdre espoir, pas maintenant, pas toute de suite, pas sans avoir essayer quelque chose.







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Sa souffrance et sa haine étaient comme des grands crus que Evan buvait. Inspirer l'effroi, la terreur, voila montrer qu'il était l'un des puissants de ce monde, un être que personne ne pouvait défier sans s'en sortir indemne. Si il s'écoutait il la prendrait de suite pour s'amuser devant tout le monde, mais ça ne serait pas assez amusant! Il fallait la faire  languir, lui faire garder ce sentiment pendant un moment. Il voulait cristalliser cette essence en elle.

Une fois lavée et honteuse, Evan ajouta un clou, un pieu dans le cercueil d'humiliation. Elle ne pouvait plus utiliser la magie et elle allait bientôt apprendre qu'elle n'était plus rien. On lui apporta le sac de sport demandé qu'il jeta au sol avant de forcer Levy à rentrer dedans, la transportant comme un vulgaire objet qu'il aurait acheté au marchant du coin. Avait-elle le choix? Pas du tout.

Il attacha le sac à sa moto avec des sangles et ce mit en route, après avoir assez serré la jeune femme pour l'empêcher de tenter de faire des mouvements qui déséquilibreraient la moto. Il roula pendant deux heures pour arriver à la ville la plus proche où il avait une maison avec de quoi s'amuser avec la demoiselle. Cette maison où il ne venait que très rarement était pourtant très bien équipée avec un confort qui n'était pas des moindres. Il ouvrir le sac contenant la jeune femme après l'avoir mise sur le lit. Il la fit en sortir avant de fermer la porte à clef.

-Bien tu sais ce que j'attends de toi à présent n'est pas? Ne me fais pas attendre.



C'est un piège



Privée de ma magie, je tentais d’écrire quelques mots discrètement, rien ne se produisit. Ce monstre venait de m’ôter ma dignité et tout ce qui fait de moi une mage. Je suis livrée à ce porc comme un vulgaire morceau de viande sans moyen de me défendre ni de répliquer. Couverte de honte, je n’ai que mes yeux pour pleurer, mais qu’adviendra-t-il de ses mêmes yeux lorsque j’aurai pleuré toute les larmes de mon corps ? C’est en partie résignée, mais surtout sous la contrainte et sans aucun autre choix, que je rentre dans ce vulgaire sac à poubelle, ouais il n’y a pas d’autre mot pour le qualifié et j’allais faire le voyage comme une insignifiante pomme de terre. Privée de la vision de l’extérieur, piégée dans ce sac. Je ne peux que douter de l’endroit où ce dernier m’emmène et continuer de pleurer.

Je ne sais pas combien de temps s’écoule tandis que je me fais trimballé dans ce sac. Il fait tout noir autour de moi, ma position n’est guère confortable et pourtant je me sens lasse. Mes yeux sont devenus lourds et j’ai fini par m’assoupir d’épuisement, mais je suis brusquement ramené à la réalité, la douloureuse vérité. Réveillée par une soudaine lumière au-dessus de ma tête. Le sac me contenant est ouvert et j’ouvre alors les yeux et m’aperçoit qu’on a bel et bien quitter les montagnes et que je suis à présent dans une chambre face à mon ravisseur. Ce dernier s’empresse de me mettre sur le lit. Il va me violer c’est ça. Cette idée me fit froid dans le dos bien évidemment, mais encore plus lorsqu’il me sort que je sais ce qu’il attend de moi. Une fois encore il me contrainte à ce que ça soit moi qui fasse les choses répugnantes. Mon regard injecté de sang parce que j’ai trop pleurer le fixe et je me mets à rire nerveusement et je baisse alors mon regard.


"TSS, parce que tu crois que je vais t’obéir bien gentiment comme un petit toutou. Si tu crois ça, tu te fous le doigt dans l’œil. Je suis peut-être ta prisonnière, mais pas ton esclave. Jamais je ne ferais ce que tu me demande."

Je n’avais pas encore perdue espoir, même si j’avais beaucoup de peine, même si mes yeux avaient beaucoup pleuré. Je ne devais pas baisser les bras.





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Again and again and again. Elle résistait encore après la démonstration de force qu'il avait fait précédemment? Et bien et bien...Elle n'était pas l'une des figures de la résistance pour rien. Sans doute maintenant que ses amis étaient libres elle se sentait de nouveau pousser des ailes. Courage? Orgueil? Fierté? Folie? Tout cela à la fois? Peut être, mais dans tout les cas elle n'allait pas pourvoir s'amuser longtemps. Il la bâillonna pour l'empêcher de hurler. Elle avait un si joli petit corps! Autant l'agrémenter de quelques motifs non? Il la menotta et des cendres brulantes se mirent à parcourir le corps de la jeune femme, créant des tatouages qui marquaient de nouveau sa propriété.

Il ne pouvait pas saccager tout son corps, mais au moins lui faire extrêmement mal tout en faisant en sorte que ça reste joli à voir. Dans le bas de son dos, les cendres se rassemblèrent et s'enfoncèrent même dans la chaire pour former un tatouage tribal ( https://i.pinimg.com/originals/c9/b7/86/c9b7864a1558b6e1330a05c3af3dd566.jpg ), tout comme ce fut le cas devant partant du haut de son bassin à dessous sa poitrine, de chaque coté ( https://www.dontmiss.fr/wp-content/uploads/2018/11/Tatouage-tribal-femme-ventre-231x300.jpg ). Cette séance de tatouage dura plus d'une demi heure non stop et sans rien pour calmer sa douleur. Il lui jeta un miroir après avoir retiré les menottes pour qu'elle puisse s'amirer

-ET voilà, tu es tout de même plus jolie ainsi tu ne trouves pas sac à foutre? On dirait presque que tu as de la dignité. Alors tu comptes toujours me résister? Si oui, il y a quelque chose que j'ai toujours voulu faire sans le pouvoir faute de cobaye...


C'est un piège



Il me bâillonna pour m’empêcher de hurler. J’étais alors privé de la possibilité de m’exprimer, mais je tenais bon. Mon courage n’avait pas complétement disparu ni même que ma détermination. Bien entendu je n’étais pas au bout de mes peines, bien au contraire et avec ce monstre face à moi, je pouvais m’attendre au pire atrocités bien que j’étais surement loin de la réalité dans ma tête de jeune femme. J’avais conscience que cet être était pire que n’importe qui et pourtant je continuais de le défié.

Je ne pouvais faire autrement. Il allait surement me faire subir les pires ignominies qui puissent existées, mon instinct me dictait de ne pas baisser les bras et de continuer à y croire. Etait-ce futile de penser comme cela ? Je ne le savais pas encore. Ce n’était ni de l’orgueil, ni de la fierté, non c’était de la foi et du courage, tout simplement l’espoir d’y croire encore. Il en vint alors à menotté et à l’aide de cendre brulante il commença sa petite torture, je ne pouvais m’empêcher de hurler en silence tant çà faisait mal sur mon corps si fragile. Il venait de me marquer, de me dessiné des sortes de tribales, de symboles qui en temps normal j’aurai trouvé jolie, là pour le coup je ne songeais qu’à la douleur qui m’avait fait vacillé le temps d’un instant, manquant de me faire tomber dans l’inconscience. J’étais à présente marquée comme on marque une vulgaire bête de somme. Mon corps ainsi meurtri se tortillait encore de douleur tandis que je sentais mon corps bondir dans ma poitrine. Des larmes coulaient à flot de mes yeux ambrés tandis que souffrais dans le silence le plus total étant donné mon bâillon. Je tentais de reprendre un peu mes esprits, il me jeta alors un miroir pour que je puisse admirer les dégâts, lui avait l’air de trouvé çà jolie. Je me tournais et regardait les dégâts sur ma peau pâle puis je me tournais à nouveau vers cet être ignoble, mon regard était moins colérique que tout à l’heure, la faute à la douleur inlassable, incessante qui me lançait sans arrêt. Je mettrais des jours entiers à m’en remettre de cela, mais ce n’était que le début. J’avais peur oui, je tremblais de tout mon corps, mes yeux ne cessaient de pleurer tenter si bien que j’avais l’impression de me vider de mon eau intérieure. Il me demandait si je voulais toujours résister, alors il est vrai que dans cet état je ne pouvais rien faire de plus que baisser le regard et me laisser faire. En soit pour le coup il me laissait aucun choix possible, menotté, bâillonnée et meurtrie ainsi.

Je tournais à nouveau le regard vers lui. J’étais si faible face à lui. Je me sentais si minable de n’avoir pas pu m’en sortir, heureusement j’avais aidé mes amis à sortir de ces guêpiers et au fond de moi j’espérais qu’il en fasse de même pour moi-même si d’un autre côté je ne l’ai est pas sauvé pour qu’il revienne à ma rescousse en courant des risques inconsidérés. Je ne savais pas trop quoi penser à cet instant, la douleur était beaucoup trop grande, la honte beaucoup trop forte et la haine trop encrée en moi.



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Les hurlements de Levy étaient comme un doux nectar à ses oreilles, une douce symphonie de douleur, de souffrance dont il se délectait avec le plus grand des plaisirs. Un sadique qui n'était pas inné chez le jeune homme mais soigneusement développée par la cruauté de l'être humain. Il se revit lui, plus jeune, se faisant violer par ses kidnappeurs qui l'avaient forcés à travailler dans une mine à son, plus jeune age, à quel point il avait été brisé! Quel sentiment de jouissance inexplicable pouvait traduire ce qu'il ressentait actuellement? C'était la preuve inexorable et incontestable qu'il faisait actuellement partit des dominants et des forts:

-Personne ne viendra te sauver, pas plus qu'on est venu me sauver lorsque je me trouvais à ta place. Peut être que des années plus tard tu suivras le même chemin que moi et tu me remercieras, en attendant tu n'es qu'une petite chose, futile, fragile. Un consommable que je me ferais un plaisir d'utiliser et de jeter.

Puis il la prit par les cheveux pour la jeter contre un siège. La demoiselle était libérée de menottes, de baillons, la seule chose qui la tenait encore étant ces marques qu'il venait de lui imposer pour son bon plaisir. Il s'avança vers elle et mit deux doigts sous son menton pour lui faire lever la tête et le regarder dans les yeux. Sur son visage se lisait une expression satisfaite ainsi qu'un éclat de démence qui ne demandait qu'à être satisfait, il attendait qu'elle lui reste pour continuer encore encore et encore.

Une idée sadique lui parvint même en tête, vu à quel point elle était pure et innocente, que se passerait-il si il reproduisait les mêmes conditions que lui, les mêmes conditions qui l'avaient transformés en monstre qu'il est aujourd'hui?

-Vas y, dit moi ce que je vais te faire et demande moi de le faire ~~


C'est un piège



Je regardais cet être détestable au possible. Comment avait-il pu devenir ainsi ? Avait-il était toujours ainsi ? Dans ce cas, il ne méritait pas sa place dans ce monde. Ma haine était pratiquement à son summum à cet instant tandis que je me tortillais encore sous la douleur, douleur que j’étouffais à présent pour ne pas lui faire trop plaisir pourtant j’étais à bout de force, prête à m’effondrer, à m’évanouir. J’écoutais alors tant bien que mal ce qu’il me racontait. Il me disait alors que personne n’était venu le sauver et il me dit que je suivrais peut-être le même chemin que lui, alors comme cela il se dévoilé à moi. Il avait été victime d’esclavage tout comme moi et voilà pourquoi il réagissait ainsi. Je baissais alors le regard, regardant le par terre.

Il me prit alors par les cheveux pour me jeter vulgairement contre un siège avec toute la violence dont il peut faire preuve. J’atterris sur ce siège négligemment comme une poupée de chiffon. Il m’ôta mes menottes et mon bâillon. Il prit mon menton entre ses doigts. Il avait cet air satisfaisant insupportable, mais moi je cherchais plutôt en lui de la tristesse, mais je n’y trouvais que haine. Etait-il totalement insensible. Avait-il des regrets ? Il me dit alors une phrase auquel je m’attendais mais absolument pas. Je me mis à rire aux éclats, presque à s’en rouler par terre.


" Tss, alors comme çà le Evan n’a pas toujours été un tyran. Enfaite tu sais quoi j’éprouvais de la haine pour toi…mais enfaite ce n’est pas ce sentiment que je ressens, non enfaite je crois que j’ai juste pitié de toi. Oui pitié du fou que tu es devenu."dis-je d’un air dégouté.

Je regardais alors Evan avec un air à la fois triste et dégouté. S’il avait subi tant d’atrocités, pourquoi est-ce qu’il les répétait, c’était bien étrange, était-ce une vengeance sur son passé méprisable ? Autant de question qui pour le moment restait sans réponse tandis que je voyais éloignais ma haine pour lui au profil d’un dégoût et d’une profonde tristesse.

Moi je n’étais pas comme lui cependant. Je n’allais pas céder à cette haine, non je resterais forte quoi qu’il arrive, il le fallait pour tous les gens que j’aime et qui m’aime et si je cédais à la haine et à la colère je ne vaudrais pas mieux que lui.


" NON JAMAIS…oh non jamais je ne deviendrais comme toi. Ton cœur est rongé par la culpabilité et tu as perdu foi à la vie humaine. Tu ne vaux pas mieux que ceux qui t’on fait cela et pourtant j’aurai dû te détester, mais non j’ai juste de la peine pour toi et alors si tu me demande ce que je veux que tu me fasses, je te dirais simplement cela…Ne reproduit pas les erreurs du passé. Soit différent, ne joue pas ce jeu auquel des prédécesseurs ont joué sinon tu ne vaudrais pas mieux qu’eux. N’AS-TU AUCUNE ESTIME DE TOI-MEME ? "lui rétorquais-je en hurlant ce cri du cœur.



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Elle lui résistait encore et de cette manière? Evan eut un nouveau fou rire, un fou rire démentiel , frénétique qu'est ce qu'il ne fallait pas entendre! Il en eut même du temps à reprendre son souffle voir même à respirer tout cours au point que des larmes en avait coulées.

-Fiou merci pour ce fou rire j'en ai mal aux cottes, limite je devrais te donner à un cirque en temps que clown plutôt que te vendre à un bordel après. Voir peut être même les deux! Rien que pour ta petite tirade laisser partir tes deux amis valait le coup. Parfait. Mais maintenant il est l'heure pour moi de passer à table.

Puisqu'elle ne semblait pas se briser alors il ferait sans il était à bout de patience. Il l'attrapa pour commencer un acte ignoble: il se mit à la violer en prenant bien son temps, sans rien lui épargner. Pendant plus de 5 heures il s'amusa avec elle, venant en elle, lui faisant volontairement mal de temps à autres pour ajouter à son plaisir. Il continua jusqu'à ne plus pouvoir et jusqu'à ce que la demoiselle soit dans un état d'épuisement total. Une fois son affaire terminée il la fit trainer jusque dans les cachots où on l'enferma avec juste une légère source de lumière, une lacryma brillant légèrement dans le dortoir.

Un bête trou pour les toilettes, une gamelle de croquettes pour chien et une gamelle d'eau, voici la nouvelle pitance de Levy McGarden. Le démon à forme humaine déclara qu'il viendrait la chercher demain matin pour s'occuper d'elle autrement. Enfin il demanda à diffuser des photos de Levy dans un état déplorable dans divers journaux pour que les rebelles enragent, peut être que ses amis allaient tout enter pour la sauver et faire des erreurs, erreurs dont il prendrait avantage.







C'est un piège



J’avais été dans ce trou à rat, cette planque sombre, froid et humide, loin de mes amis, loin de ma famille de substitution, loin de tout enfaite et pourtant ce n’était pas cela qui m’enlevai mon courage, bien au contraire dans ces heures sombres, c’était à eux que je pensais, Lucy, Jet, Droy, Yugo et Gajeel, oui Gajeel je ne pourrais plus le voir en face après cela et puis c’était lui aussi qui était partit, je n’avais plus à me soucier de lui, non ici je n’aurai plus à me soucier de qui que ce soit. Peu à peu je sombre dans cette noirceur sans lumière, sans détour, même si je garde toujours le souvenirs doux et à la fois amer de toutes ces années passées avec vous.

" Je vous aimes mes amies, adieu."

Je prononçais cette petite phrase à voix basse, les larmes coulèrent le long de mes joues pour finir lamentablement par terre tandis que j’entendais mon bourreau rire comme un bossu juste en face de moi. Son visage était déformé tellement il riait aux éclats, il en pleurait même disait-il et voulait me vendre à un cirque. J’essuyais alors mes larmes et le regardais dans un dernier défit.

" Et bien soit, mets-moi dans un cirque, j’y serais probablement plus libre et heureuse qu’ici, mais je ne crois pas que tu aimes rendre les gens heureux, surtout tes esclaves, non."

C’était probablement ma dernière tirade et en effet ce fut le cas, après cela je fus enfermée, violer et torturer pendant je ne sais combien de temps, probablement jusqu’à ce que mon corps tombe de fatigue et morde la poussière. Une fois cela fait, mes yeux étaient devenus inexpressif, comme vidés, mon corps fut trainé dans des cachots moisis et puants avec pour seule lumière une lacrima. J’y croupirais surement les prochains jours, voir les prochaines années, peut-être mon existence entière. Il est si facile de devenir fou ici, facile de déprimé, facile de se laisser aller à la mélancolie et au désarroi et facile aussi de perdre espoir, bien a que là on me l’avait plutôt retiré et sans arrêt des peurs m’assaillait, dès que j’entendais le moindre bruit la nuit, tant il faisait sombre. Mes yeux cependant s’étaient habitués au fur et à mesure des heures à cette obscurité.

Je ne songeais pas à partir, si je le faisais déjà je me ferais rattraper en moins de deux et en plus les gens en extérieur risqueraient gros. J’avais entendu qu’il viendrait me chercher demain, probablement pour s’amuser encore d’une autre manière. J’ai déjà si mal entre mes jambes et en plus je songe au faite qu’il aurait très bien pu me mettre enceinte, oui une femme pense à ce genre de chose. Rah, je n’avais pas envie d’être enceinte d’un tel monstre et en plus ici. Bon je devais relativiser, garder courage, peut-être que je ne l’étais pas après tout. Je me laissais glissé alors le long de la paroi froide et fini accroupis, désarmée, fatiguée avec plus aucune énergie et plus aucune larme pour pleurer. Je fini par m’endormir en rêvant de jours meilleurs.




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